Le déclic de Compostelle
François Culot
Les démocraties chancèlent. Le climat surchauffe. La guerre frappe aux portes de l’Europe… Le mot « crise », désormais, se décline à toutes les modes, envahit toutes les conversations.
Face au rouleau compresseur du pessimisme, la tentation peut être grande de sombrer dans le sentiment d’impuissance.
Tombé tardivement dans la marmite politique, électron libre, François Culot n’est pas du genre à rejoindre les rangs des pleureuses et des démissionnaires, et encore moins ceux des extrémistes de tous bords !
Elu maire de Virton en 2012, observateur infatigable de l’actualité belge et française, ce Gaumais pur jus a plongé les mains pendant plus de dix ans dans le cambouis communal.
De son parcours atypique, il s’est forgé une conviction inébranlable : au-delà de ses vicissitudes et ses dérapages, la politique reste une « discipline » belle et enthousiasmante qui, régénérée et bien balisée, peut conserver sa vocation à cultiver l’art du « vivre ensemble ».
Bien plus qu’une simple description de son travail, « Le déclic de Compostelle », cri du cœur en phase directe avec les préoccupations des citoyen.ne.s, présente, non sans humour, des pistes pour réenchanter la démocratie à l’échelon communal et bien au-delà.
€ 12,00
Les démocraties chancèlent. Le climat surchauffe. La guerre frappe aux portes de l’Europe… Le mot « crise », désormais, se décline à toutes les modes, envahit toutes les conversations.
Face au rouleau compresseur du pessimisme, la tentation peut être grande de sombrer dans le sentiment d’impuissance.
Tombé tardivement dans la marmite politique, électron libre, François Culot n’est pas du genre à rejoindre les rangs des pleureuses et des démissionnaires, et encore moins ceux des extrémistes de tous bords !
Elu maire de Virton en 2012, observateur infatigable de l’actualité belge et française, ce Gaumais pur jus a plongé les mains pendant plus de dix ans dans le cambouis communal.
De son parcours atypique, il s’est forgé une conviction inébranlable : au-delà de ses vicissitudes et ses dérapages, la politique reste une « discipline » belle et enthousiasmante qui, régénérée et bien balisée, peut conserver sa vocation à cultiver l’art du « vivre ensemble ».
Bien plus qu’une simple description de son travail, « Le déclic de Compostelle », cri du cœur en phase directe avec les préoccupations des citoyen.ne.s, présente, non sans humour, des pistes pour réenchanter la démocratie à l’échelon communal et bien au-delà.